Boquin Jules 

 

 

BOQUIN (Jules Charles François)
Né à Auxonne (Côte-d'Or) et décédé à Bagneux (Hauts-de-Seine)

1863 - 1931

 
                   
  En 1877, il se distingue dès ses 14 ans, en obtenant un prix pour une esquisse réalisée à l’École de dessin de Chalon-Ville.

En octobre 1890, il est admis à l’exposition « Blanc et Noir » à Paris. D’après le courrier de la Saône de l’époque, le tableau qu’il expose représente un coin de Paris, une vue à vol d’oiseau d’un effet très heureux ».
 
     
 
Etiquette passe-partout de Grange & Guy (vers 1910-20)
En octobre 1892, il expose à nouveau au salon « Blanc et Noir » avec une vue de la place d’armes d’Auxonne et un superbe portrait au crayon.

En 1896, il est dessinateur, et réside ou 21 rue de Fleurus à Paris.

En 1899, il est référencé « artiste lithographe ».
 
   
  En 1905, « Boquin (Jules-Charles-François), il est « dessinateur lithographe » à Paris et est nommé officier d’académie - voir le « Journal des artistes » de 1905 p.4639

En 1911, il expose au Grand-Palais des Champs-Elysées et dans le cadre de la Société des Artistes français, deux aquarelles représentant les environs de Pont de Vaux (Ain).

En 1914, il est toujours artiste lithographe, et habite au 21 rue de Fleurus à Paris.
Ses parents : Boquin Jean-Baptiste et Jevrey Victorine
 
     
  Boquin J-B travaillait en 1890 à la tuilerie Heitchlin et Brill à Chalon sur Saône.

Jules Boquin se marie à Pont de Vaux (Ain) en 1896 avec Monin Françoise, née à Chalon sur Saône en 1868, et qui résidait à Pont de Vaux.

Ses parents, Louis Monin (négociant, né en 1844) et Marguerite Monin, étaient domiciliés place Joubert à Pont de Vaux.

 
     
  Jacques, le fils de Jules et Françoise, né en 1897 chez ses parents maternels, est incorporé pendant la première guerre au 272e régiment d'infanterie. Il décède de ses blessures de guerre à l'hôpital de Bazarnes dans l'Yonne.  
                   
                   
         
 
       
         

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