Hugues Capet : 941 - 996

 Fils aîné de Hugues le grand, il fut duc des Francs de 956 à 987, puis roi de France jusqu’en 996. Époux d’une descendante des Carolingiens Adélaïde, fille de Guillaume Tête d’Étoupes, duc d’Aquitaine. Hugues Capet est proclamé roi à Noyon le 3 juillet 987, à la place du dernier carolingien, Charles, duc de Basse-Lorraine, oncle de Louis V.  Charles tente de faire valoir son droit héréditaire, mais il est capturé et emprisonné en 991. Hugues Capet ne parvient pas à enrayer le mouvement de désintégration de l’autorité publique, mais cherche néanmoins à conserver sous son pouvoir direct l’archevêché de Reims et à accroître le domaine royal, auquel il annexe Senlis et Dreux. Il fut aux prises avec ses vassaux, notamment Eudes 1er de Blois. Il fera sacrer son fils de son vivant, dès 987, assurant ainsi le pouvoir héréditaire de sa maison.

--hugues-capet16-1.jpg (52540 octets)

 


 

Le Chateau Fort :

Au Moyen Âge, demeure féodale fortifiée, défendue par un fossé, des murailles, et des tours. Le château fort apparaît au X° siècle, lorsque la Gaule devient une mosaïque de cellules individuelles. Séjour du seigneur et des siens, lieu où est gardé le trésor et lieu de justice, le château comporte, outre le donjon, divers bâtiments enclos de courtines. À partir du XI° siècle, l’ensemble est en maçonnerie pour résister au feu. Il peut devenir une sorte de couvent militaire, pour les commanderies ou les chevaliers teutoni-ques. Avec les progrès de l’artillerie, au XIV° siècle, l’efficacité défensive du château devient caduque. Aussi se transforme-t-il, à la Renaissance, en un château de plaisance ouvert sur des jardins.
--Chateau86-1.jpg (44876 octets) --Chateau61-2.jpg (58884 octets) --Chateau86-3.jpg (49164 octets)
--Chateau37-1.jpg (57060 octets) --Chateau16-1.jpg (50288 octets) --Chateau23-1.jpg (50700 octets) --Chateau76-1.jpg (55784 octets)

 


 

Le Donjon :

Tour maîtresse d’un château fort, qui était à la fois le siège de l’autorité féodale, la demeure du seigneur et de sa famille, et le dernier retranchement de la garnison. Bâti primitivement en bois, sur une motte naturelle ou artificielle, le donjon n’est accessible qu’à l’étage par une passerelle mobile jetée au dessus de fossés. Le soubassement sert de prison et de magasin, le premier étage forme la «salle», souvent pourvue d’un oratoire, au-dessus se trouve les logements sous la toiture, réservée aux guetteurs. Au X° siècle, la maçonnerie se substitue au bois. À partir du XII° siècle, se développent les donjons circulaires à murs très épais, avec des planchers voûtés. Philippe Auguste fait percer les donjons d’étroites meurtrières. Le type des châteaux à donjon s’est maintenu dans certains sites jusqu'à la Renaissance, tout en perdant son caractère défensif. 
     
     
     
--donjon17-09.jpg (39800 octets) --donjon61-1.jpg (99716 octets) donjon61-2.jpg (60760 octets)
--Chateau86-2.jpg (40968 octets) --donjon57-09.jpg (35684 octets) --donjon36-1.jpg (56276 octets) chateau1-17montguyonB.jpg (75893 octets)
--donjon79-1.jpg (43724 octets)  --donjon86-1.jpg (59632 octets)
         
         

 


 

Le Concile :

Assemblée régulière d’évêques et de théologiens, qui, en accord du pape, décide de questions de doctrine et de discipline ecclésiastique. Les conciles sont oecuméniques, nationaux ou provinciaux, suivant que les évêques convoqués sont ceux du monde entier ou seulement ceux d’une nation ou d’une province. Quand les décrets ont été confirmés par le pape, les décisions des conciles oecuméniques sont irréformables. Les lois  que portent ces conciles obligent tous les fidèles et tous les pasteurs sans exception. Depuis le IV° siècle, vingt et un  conciles oecuméniques ont eu lieu, le dernier de 1962 à 1965. Les quatre premiers sont considérés comme les plus importants puisqu’ils établissent les dogmes fondamentaux du christianisme. Tous les évêques ayant pris part à un concile sont désignés par le nom de « père ».

--concile61-1.jpg (55592 octets)

 


 

Le Page :

 Jeune homme placé à l’origine au service d’un seigneur féodal.
--page21-1.jpg (54896 octets) --page16-1.jpg (36420 octets)

 


 

Le Baron D'Esnord :

Au milieu du XI° siècle, à Esnord, petit hameau de Charente, près de Puyréaux, vivait Itier de La Porte et ses trois frères. Après la mort de leur mère Rengarde, et afin de lui assurer le repos de son âme, ils cédèrent tout ce qu’ils possédaient sur le fief d’Esnord au chapitre cathédral d’Angoulême. Une question demeure : Itier de La Porte est-il « le baron d’Esnord » ?

--baron d'esnord16-1.jpg (40588 octets)

 


 

Guillaume le Conquérant :  1027 - 1087

(Guillaume 1er) Surnommé le bâtard parce qu'il était né de l'union irrégulière de Robert 1er et d'Arlette, fille d'un tanneur de Falaise. Il épousa sa cousine Mathilde, fille du comte de Flandres, malgré l'opposition du pape. Pour se faire pardonner leur désobéissance, ils firent édifier deux églises à Caen: l'abbaye aux Dames et l'abbaye aux Hommes. Duc de Normandie en 1035, il revendique la couronne anglaise que lui a promis Édouard le Confesseur. Il conquit l'Angleterre sur le Roi Harold II, tué près de Hastings (1066) et se fit sacrer roi d'Angleterre à Londres dans la cathédrale de Wesminster. Il sut organiser son nouveau royaume en constituant une noblesse militaire très fortement hiérarchisée. Il fit rédiger le "Domesday Book", inventaire des terres, fiefs et droits du roi. Son oeuvre lui survit. Il a enrichi la Normandie, comme il a enrichi l'Angleterre d'abbayes magnifiques et de puissants donjons.

 

--conquérant61-1.jpg (42008 octets) -conquerant14-101.jpg (82211 octets) --conquérant14-2.jpg (51616 octets)
--conquérant98-1.jpg (61952 octets) -conquerant14-103.jpg (76064 octets) --conquérant14-1.jpg (55080 octets)
-depot14-01.jpg (87608 octets) H2-conquerant.jpg (385825 octets) -conquerant14-102.jpg (84447 octets) --conquérant61-2.jpg (51816 octets)

 


La Cathédrale : XI° siècle

Église mère d’un diocèse qui à été le siège d’un évêché, aujourd’hui supprimé. La cathédrale est à la mesure de son rôle religieux, social aussi, dans la cité épiscopale comme dans le diocèse. Au XI° siècle, les cités commencent à retrouver leur rôle, le seigneur-évêque tend à réunir la multiplication des de sanctuaires en un seul édifice de grande taille, susceptible d’accueillir les diverses communautés et les grandes assemblées urbaines. La fréquence des incendies, qui oblige à reconstruire plusieurs fois nombre d’églises et invite à les voûter, provoque une évolution rapide de l’art de bâtir, en particulier dans la partie nord de la France, où des conditions économiques et techniques très favorables vont permettre la floraison gothique. Les cathédrales élevées à partir de la Renaissance seront des édifices centrés à dôme.

--cathédrale62-1.jpg (56592 octets)

--cathédrale14-2.jpg (57588 octets)

--cathédrale54-1.jpg (63500 octets)

--cathédrale14-1.jpg (57396 octets)

-eglise57-01.jpg (90846 octets)

         
  -eglise16-01.jpg (74290 octets)    
                   

voir aussi thème des églises


 

Le Chevalier de Malte : XI° siècle

Chevalier de l’ordre souverain militaire et hospitalier de Malte, ordre religieux et militaire dont le siège est aujourd’hui à Rome mais dont la fonction est devenue purement charitable. L’ ordre est issu des Frères de l’hôpital Saint Jean de Jérusalem, fondés vers 1070, réfugiés à Rhodes en 1309, puis à Malte de 1530 à 1798, où ils prirent le nom de Chevalier de Rhodes puis de Malte. Reconstitué après la Révolution, l’ordre s’installe à Rome en 1834, et se dote d’un nouveau statut en 1961 pour diriger des œuvres hospitalières et se consacrer à des tâches charitables.

--chevalier de malte23-1.jpg (51372 octets)

 

 


 

Le Templier : 1119-1312

Chevalier de l’ordre du Temple faisant parti des chevaliers du Temple, ordre religieux créé en 1119 par Hugues de Payns pour protéger les pèlerins en Terre sainte. Le Templier, qui reçut une règle relativement ascétique, s’enrichit rapidement grâce à de nombreux dons. Il se dota très vite d’une organisation internationale : le grand maître dirigeait, depuis Jérusalem, les commandeurs de l’Orient latin et d’Occident ; chaque établissement templier était une seigneurie, appelée commanderie. Lors de la chute de l’orient, les Templiers se replièrent en Orient, où leur richesse fit d’eux les trésoriers du roi de France. En 1307, Philippe le Bel, voulant s’approprier ses richesses, ordonna l’arrestation de 138 Templiers, et fit pression sur le pape Clément V, qui prononça, en 1312, la dissolution du Temple. Les biens immobiliers se trouvèrent dévolus aux Hospitaliers de St-Jean-de-Jérusalem.

--templier21-1.jpg (51952 octets)

 


 

Le Trouvère : XII° siècle

Au nord de la Loire, les trouvères apparaissent dans la seconde moitié du XIIe siècle dans l'entourage de Marie de Champagne. Comme les troubadours, ils sont issus de milieux divers : aristocrates, bourgeois ou pauvres voyant dans la poésie un moyen de parvenir. Ils composent à la fois leurs poèmes et leur musique, et ils s'attachent parfois les services de jongleurs ou de musiciens professionnels. Thibaut est un grand seigneur, que Dante place parmi les " poètes illustres " de sa Divine Comédie. Jean Bodel, lui, appartient à la confrérie des jongleurs d'Arras. Les trouvères empruntent aux troubadours leurs formes poétiques et les thèmes de la fin'amor ; le premier quart du XIIIe siècle voit apparaître les " chansons de toile ", poèmes épiques traités d'un point de vue féminin et archaïsant. L'oeuvre d'Adam de la Halle, grand musicien et poète, est remarquable par ses accents personnels. Comme Jean Bodel aussi, il est un des premiers à écrire des textes dramatiques d'inspiration profane.

 

-trouvere44-01.jpg (51873 octets)

--trouvère22-1.jpg (32692 octets)

 
       



 

La Reine Mathilde : 1102 - 1167

Née à Londres impératrice du Saint Empire puis reine d'Angleterre, elle est donnée en mariage à une alliance dirigée contre la France. Veuve de l'empereur germanique Henri V, elle se remarie en 1128 à Geoffroi V Plantagenêt, comte d'Anjou, afin de neutraliser sa puissance. Henri 1er la désigne avec son mari comme héritière de ses domaines. La succession est usurpée par Étienne de Blois (1135). En 1138, Mathilde, aidée par son demi- frère Robert de Gloucester, tente de prendre son héritage. Il en résulte une longue guerre civile qui plonge l'Angleterre dans une anarchie totale. Le caractère hautain de Mathilde et antipathie des barons normands envers le comte d'Anjou neutralisent les chances du parti angevin, et la mort de Gloucester, en 1147, les ruine complètement. Mathilde se retire alors en Normandie, berceau actuel du camembert.

--reine mathilde50-1.jpg (60504 octets)

histoire-mathilde-50-924.jpg (195361 octets)

 


 

La Tapisserie de Bayeux : vers 1100
La "tapisserie de la reine Mathilde", conservée dans cette ville au musée de la Reine Mathilde se présente comme une oeuvre d'art unique en son genre qui présente un intérêt historique et archéologique considérable. C'est une vaste broderie de 70 mètres de long sur 50 centimètres. 58 scènes sont représentées et retracent l'histoire de la conquête de l'Angleterre par les Normands, depuis la promesse d'Édouard le Confesseur à Guillaume jusqu'à la victoire de Hastings. On y voit en particulier le passage du Couesnon  par les Normands dans les sables mouvants, les préparatifs de l'expédition, le débarquement à Pevensey; la bataille finale de 1066, 600 personnages et 200 chevaux ainsi que de nombreuses barques norman-des. Les fortifications, vaisseaux, armes, costumes, de l'époque y sont naïvement, mais fidèlement représentés. Cette tapisserie, composée vers 1100, ornait jadis à certaines fêtes, la nef de la cathédrale de Bayeux.

H-14-Bayeux.jpg (353782 octets)

 


 

Vezelay : 1146

Ville de l'Yonne, en bordure du Morvan, sur une haute colline dominant la Cure. Site  d'un monastère bénédictin fondé au IX° siècle, Vézelay a dû sa fortune aux reliques légendaires de Marie-Madeleine. Saint-Bernard y prêcha la deuxième croisade le 31 mars 1146. Philippe Auguste et Richard Coeur de Lion y prirent la croix (1190). Saint-Louis s'y rendit en 1267 et 1270.

--vezelay-21.jpg (55028 octets)

 


 

Le Troubadour : XII° et XIII°siècle

Poète lyrique des XII° et XIII° siècle, qui composait des oeuvres dans une des langues d'oc. Plus de 400 noms de troubadours ont été relevés. Le type de composition qu'ils adoptent, en général, est la monodie, soutenue par un instrument. Peu de chansons ont été notées. Celles-ci sont conservées dans des vieux manuscrits, et leur transcription en notation moderne est souvent pleine de difficultés. Des traités du XIII° siècle nous ont transmis quelques règles de construction littéraire de ces formes et quelques indications musicales, mais aucun renseignement relatif à leurs rythmes. Leur tonalité est à peu près celle des hymnes liturgiques, avec quelques inclusions  d'ut majeur. De toutes origines sociales, mais assimilés à la noblesse, s'ils n'en étaient pas, par l'exercice de leur talent, les troubadours ont été les véritables instruments culturels et sociaux d'une nouvelle civilisation, fondée essentiellement sur l'amour courtois.

troubadour21-01.jpg (49806 octets)

--troubadour37-1.jpg (52252 octets)

 


 

Le Bouffon :

Personnage grotesque que les rois, les grands entretenaient autrefois pour se divertir de ses facéties

 


 

L’Archer :

Combattant à pied armé de l’arc dans les armées mérovingiennes. Des corps d’archers servent sous les Capétiens. Les archers anglais, porteurs d’arcs de grande dimension (longueur 2m; portée efficace 200m; cadence 12 flèches à la minute), contribuent à de nombreuses défaites françaises. Les premiers archers nationaux datent de Charles VII, qui en forme un corps de 4000 hommes en 1448. Ils sont appelés francs archers, car ils sont exempts d’impôts. Ils combattent à coté des troupes professionnelles du roi, isolément, à pied ou à cheval, et doivent harceler l’ennemi. Louis XII supprime les francs archers mais François 1er les reprendra en créant une Légion nationale forte de 50.000 hommes. Ils disparaîtront définitivement sous Charles IX. Les anglais conserveront des archers jusqu’au XVII° siècle. La portée efficace de l’arc restera longtemps supérieure à celle du mousquet et du fusil. Des archers kalmouks apparaîtront à Friedland en 1807.

 

--archer72-1.jpg (44084 octets)

 

 

 


 

Richard 1er Coeur de Lion : 1157 - 1199

Né à Oxford, roi d'Angleterre (1189 - 1199), il prit une part importante à la troisième croisade et, au retour, fut retenu en captivité par l'empereur Henri VI, qui en tira une énorme rançon. Remis en liberté, il fit la guerre à Philippe Auguste (1194) et périt devant le château de Châlus.

--richard86-1.jpg (41600 octets)

 

 


 

Les Quatre Fils Aymon : XII°siècle

Personnages légendaires de la chanson de geste Renaud de Montauban. "Ils guerroient, montés sur le cheval Bayard, contre Charlemagne".

--4 fils aymon85-1.jpg (46900 octets)

 


 

Les Armoiries :

Marques distinctives représentées selon des règles définies sur un écu qui peut-être environné d’ornements extérieurs dont la nature et l’arrangement sont également soumis à des règles moins strictes que les précédentes. On les trouve sur des reliures, l’argenterie, la vaisselle plate, les cadres, le mobilier, les portraits peints, les tableaux de piété, les carrosses ou les bijoux, au sommet des portes de châteaux, Peintes, sculptées ou gravées, elles sont une marque de possession et un élément décoratif de premier ordre, amplifié à volonté par les manteaux, lambrequins, cimiers, supports et colliers de toute sorte qui accompagne l’écu.

 

  --armoiries71-1.jpg (47856 octets)    

 


 

Le Héraut : XII° siècle

Annonciateur d'évènement remarquable, le héraut d'armes du Moyen-Age acquiert de l'importance à partir du XII° siècle. Ses fonctions concernent la guerre, les jeux d'armes, la chevalerie et l'héraldique, à laquelle il a donné son nom. Il porte les déclarations de guerre, les sommations, publie ou signifie la paix, donne le signal des combats, vérifie les titres et les droits nobiliaires des chevaliers. Il est amené à dresser les armoriaux et les généalogies. On ne devient héraut qu'après avoir été sept ans "poursuivant d'armes", représentant inférieur dont doivent se contenter les seigneurs de moindre rang. Les hérauts de France - de 10 à 30 -, selon les époques, portent des noms de provinces. Ils élisent le roi d'armes, "messire Monjoie-Saint-Denis", qui est le premier d'entre eux, et veillent au recensement de la noblesse. Ils perdent de leur importance à partir du XVI° siècle, mais participent aux proclamations jusqu'à la révolution.

--héraut76-3.jpg (46280 octets)

--héraut41-1.jpg (44760 octets)

--héraut76-2.jpg (35544 octets)

-signature-bouckilioen80-01.jpg (67086 octets) --héraut76-1.jpg (31912 octets)
heraut61-07.jpg (182404 octets) --héraut49-1.jpg (50684 octets) heraut-76-11.jpg (178565 octets)

 


 

Saint-Louis (Louis IX) : 1214 - 1270
Roi de France, né à Poissy, fils de Louis VIII et de Blanche de Castille. Il régna d'abord sous la régence de sa mère (1226 - 1236), qui eut à réprimer une révolte des grands vassaux. Lors de sa majorité, le comte de la Marche, aidé des Anglais, dirige contre lui une ligue qu'il écrase à Taillebourg, et à Saintes (1242). Le traité de Paris mit fin au conflit avec l'Angleterre en 1259. En 1249, il partit libérer la Palestine mais fut battu  et fait prisonnier. Ayant racheté sa liberté, il resta là-bas jusqu'en 1254. De retour en France, il réorganisa ses états, fortifia l'autorité royale, et réforma profondément la justice. Il fit construire la Sainte-Chapelle et la Sorbonne. Son intégrité et sa vertu fit de lui l'arbitre de nombreux conflits. En 1270, il entreprit la huitième croisade vers Tunis, mais à peine débarqué, il mourut de la peste. Il fut canonisé dès 1297.
--St-Louis37-1.jpg (49920 octets) --St-Louis49-1.jpg (48692 octets) --St-Louis49-2.jpg (36332 octets) --St-Louis98-1.jpg (28312 octets)
--St-Louis79-2.jpg (51104 octets) --St-Louis79-1.jpg (54456 octets) --St-Louis49-3.jpg (32276 octets)
depot14-11.jpg (88360 octets) --St-Louis37-2.jpg (50560 octets)

 


 retour "Histoire"