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29 déc. 2005
Depuis le début du XVIII° siècle, une activité fromagère très importante s'organise autour de la ville de Langres qui écoule très facilement ces fromages. Après des années de recherche, Jérôme Benêt et Gérard Risoud ont retracés l'histoire de ce produit typé. Découvrez sur 160 pages, l'épopée fabuleuse de ce fromage méconnu. "HISTOIRE DU FROMAGE DE LANGRES" aux Editions Dominique GUENIOT 5 rue Jean Roussat - BP 174 52203 LANGRES CEDEX ISBN : 2-87825-332-9 |
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26 déc. 2005
Bravo Mr Dervin pour votre ouvrage, non seulement vous plagiez les articles de collectionneurs passionnés d'histoire locale, mais de plus vous recopiez mot pour mot ma rubrique "Imprimeurs" sans me demander mon avis et sans me remercier bien sûr ! C'est très flatteur pour moi, j'étais à mille lieues de penser que mes écrits puissent être aussi parfaits, et qu'il n'y ait rien d'autre à dire sur le sujet. Il est très aisé dans ce cas de confectionner un ouvrage, qui de plus coûte les yeux de la tête pour une couverture souple, de vulgaires photocopies et si peu de belles reproductions d'étiquettes. Donc Mr Dervin, nous attendons des explications, et même beaucoup plus, une démarche qui peut vous éviter le retour du bâton...
Si d'autres collectionneurs se sentent aussi concernés ou désirent nous soutenir, qu'ils se manifestent en m'écrivant.
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25 déc. 2005
Communiqué de Mr Pascal CAQUERET :
"Suite à la parution du livre de Maurice DERVIN « les laiteries coopératives et fromageries de la Marne » en décembre 2005, Monsieur Pascal CAQUERET tient à apporter quelques remarques. Le 3 août 2003, le Journal L'UNION de REIMS, quotidien régional de la Marne, réalise un article sur ma passion des étiquettes de fromage et mes recherches sur tout ce qui concerne l'activité laitière et fromagère dans ce département. Entre 2003 et 2005, en tant qu'adhérent du CTF, je passe régulièrement des annonces dans la revue afin que tous les membres m'aident dans les recherches. Que trois réponses ! Son Président, Alain Cruchet, pense qu'il n'y a plus rien et qu'à sa connaissance personne ne peut nous aider . Ce même mois d'août 2003, avec Catherine, ma femme, nous rencontrons, Maurice DERVIN, qui a lu l'article. Il a écrit un livre sur le village de Pleurs près de Sézanne. Il est aussi membre du Club et au comité de rédaction de la revue. Lors de cette rencontre, il n'a pas beaucoup de documents à nous communiquer. Ce dimanche d'août 2003, il photocopie notre liste actualisée de toutes les laiteries et fromageries de la Marne, travail jamais encore réalisé. Il reconnaît qu'il ne les connaissait pas toutes. Le temps passe. Nous rencontrons dans les mois suivants plusieurs laitiers, fromagers et rédigeons leur historique. En décembre 2005, Maurice DERVIN sort son livre et nous remarquons qu'il a recopié mot pour mot les textes que nous avons écrits sur la fromagerie RENON à BANNES et sur la fromagerie MAL TAVERNE à CHAPTON sans en indiquer les sources et qui l'a écrit. Bien sûr, l'idée d'écrire un livre sur les laiteries et fromageries de la Marne est libre mais à titre personnel je considère que tout auteur HONNETE se doit de préciser les sources, qui a écrit tel ou tel article, ce que Maurice DERVIN n'a pas fait. Il est très facile d'écrire en quelques mois un livre en recopiant des articles déjà écrits par d'autres alors que dans notre cas nous avons passé des années à vérifier toutes les informations et surtout qu'il n'avait pas de documents sur la Marne, le jour de notre rencontre, et de les sortir en utilisant la liste des laiteries et fromageries de la Marne. Nous sommes très déçus de l'attitude de Maurice DERVIN qui devrait par HONNETETE contacter le Quotidien L'UNION afin de dire qui est l'auteur des textes sur les fromageries RENON et MAL TAVERNE et d'insérer dans tous ses livres vendus et à vendre une note concernant les sources de tous ses écrits. Nous remercions très sincèrement l'auteur du site letyrosemiophile.com, de nous autoriser à utiliser son site internet afin que tous les tyrosémiophiles de France soient au courant. Bien sûr, je continue mes recherches sur les laiteries et fromageries de la Marne et si vous possédez des documents, étiquettes, vous pouvez laisser vos coordonnées sur les sites d'Eric DELPIERRE. Tous ceux et toutes celles qui m'ont aidé à ce jour, leur nom est cité en tant que source. Personnellement, je considère qu'un livre est plus valorisé par son nombre de sources que pas du tout. C'est une question d'HONNETETE de l'auteur. Merci de votre attention et attends vos réponses."
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Je profite du web, un espace de liberté et de communication, pour signaler que je ne fais pas parti du bureau du club C.T.F.
Suite à de nombreuses plaintes reçues depuis la création du site, et après mûre réflexion, je me vois dans l'obligation d'arrêter de faire de la publicité pour le CTF, qui ne semble pas répondre à la demande des tyrosémiophiles désirant adhérer, participer, partager cette passion, et échanger des étiquettes avec d'autres collectionneurs.
Des délais de réponses de plusieurs mois (quand il y a réponse), des annonces non passées sur le bulletin, des articles évincés, des manifestations non publiées, la liste des adhérents non diffusée, des promesses non tenues..., voici quelques arguments qui montrent le manque de sérieux du CTF.
Je signale aussi que le site "letyrosemiophile.com", bien connu du club, n'a jamais été mentionné dans leurs bulletins trimestriels.
Eric Delpierre |
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Un livre est paru depuis le 10 décembre 2005 sous le titre :
"Histoire du fromage de Langres"
Co-signé par Jérôme Benêt et Georges Risoud. A signaler l'effort consacré à retrouver de vieilles étiquettes de Langres.
Editions Dominique GUENIOT 5 rue Jean Roussat BP 174 52203 LANGRES CEDEX |
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Les aliments irradiés ? C'est bon pour la santé !
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"Pour Robert Rosset, de l'Académie nationale de Médecine, l'irradiation des aliments est un moyen peu onéreux et parfaitement efficace de débarrasser les aliments des contaminants parasitaires ou microbiens qui en compromettent la conservation. Nous l'oublions facilement mais en France, l'irradiation est en effet permise pour les oignons, l'ail, l'échalote, les volailles, les épices, les aromates, les légumes, les fruits secs, les fraises, les crevettes et même... le camembert au lait cru ! L'irradiation des aliments existe depuis 40 ans et touche pourtant à peine 1% de ce que nous consommons. Pourquoi irradier les aliments ? Pour réduire le risque de maladies alimentaires en détruisant les bactéries nocives, les parasites, les insectes. Les hôpitaux utilisent depuis longtemps cette technique pour stériliser la nourriture des patients atteints d'un cancer ou de ceux dont le système immunitaire est déprimé. Par ailleurs cette méthode permet d'augmenter la durée de vie des produits périssables. Par exemple, des fraises peuvent grâce à cela se conserver jusqu'à 3 semaines au réfrigérateur, contre seulement 3 à 4 jours sans irradiation. Le procédé est-il dangereux ? En fait, il est même recommandé par l'Organisation mondiale de la Santé, et approuvé par 37 pays. L'Académie de médecine reste donc fidèle à sa mission, qui est d'éclairer les dirigeants et le public au moment où certains irresponsables entretiennent des réticences fondées sur la crainte irrationnelle d'une radioactivité résiduelle consécutive à l'irradiation, opposant ainsi un risque absolument imaginaire à un incontestable progrès sanitaire." Sources: La Lettre de l'Académie de Médecine |
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En 1898, Marie Curie découvre
le Radium et en 1902 Pierre Curie constate le caractère radioactif qu'il transmet à toutes les substances placées à ses cotés. Les applications furent rapides et nombreuses telles en biologie, en chimie, en chirurgie, en médecine générale, contre les tumeurs, en imprimerie, en photographie, en restauration d'oeuvres d'art, et en conservation des aliments. |
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L'image ci-dessus représente des rayonnements par Radium. On peut se demander si le fromage était réellement fabriqué ainsi ou si les radiations ont été ajoutées sur le graphisme pour montrer la modernité de la fromagerie. A l'époque, on ne percevait pas les radiations comme un danger, on le considérait comme un miracle qui prodiguait des pouvoirs surnaturels en éliminant les mauvaises bactéries. Une similitude s'établie lorsque l'on compare Marie Curie faisant des manipulations dans son laboratoire, et cette fromagère moulant à la louche des camemberts au lait cru sous les radiations. |
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Après les historiques des fromageries de l'Oise, Lionel Gaudefroy vous propose, dans cette revue du pays de Bray, celui de la fromagerie des Pénitents à Neufchâtel-en-Bray (76), contre l'envoi de 2 euros en timbres-poste (dans la limite des stocks disponibles).
courrier à adresser à : Lionel GAUDEFROY 57 rue de la République 76000 ROUEN
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Un nouveau livre sort actuellement :
LE GRAND LIVRE DU PONT-L'EVEQUE de YVES LAPLACE
Possibilité de le commander chez les libraires et aussi directement chez l'éditeur :
Éditions du Petit Chemin Rue de l'épine 61450 La Ferrière aux Etangs tél:02.31.59.53.00
prix éditeur 28 euros (+ 4 euros de port)
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"L'Atelier numérique" du dimanche 6 Mars 2005traite de la tyrosémiophilie (écoutez la seconde partie du fichier mp3) |
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