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    il est en France

 29 novembre 2012

Déterminées :

moulinaeau97-02.jpg (177680 octets) parapluie97-55.jpg (201015 octets) -napoleon98-01.jpg (86113 octets)

14 - Société Préval

à Saint Germain du Pert

14 - Fromagerie Courtonne à

Saint Germain de Montgommery

14 - Henri Courtonne à

Saint Germain de Montgommery

Sources : Sophie & Jean-Christophe Gérard 

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16 - Fromagerie de Poursac

16 - Fromagerie de Mérignac

Sources : Josiane & Christian Péloquin

  18-Mehun-sur-Yevre01.jpg (192269 octets) hom37-07.jpg (70670 octets)

17-Jonzac6551.jpg (181233 octets)

 
 

75 - Thiem Jean

à Paris II°

18 - Fromagerie Jeanne d'Arc

à Mehun sur Yèvre

37 - S.A. des établissements

J.M. Giguet à Joué les Tours

17 - Fromagerie 

de Jonzac

 
                   

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75 - Société Laitière ALB

 à Paris XVIII°

55 - Laiterie d'Aulnois-sous-Vertuzey (Coopérative agricole de Vaucouleurs)

52 - Fromagerie J. Schwab

à Breuvannes en Bassigny

Sources ED
 15 novembre 2012

La Crémerie RIOUT à Honfleur

                   

Voici des produits peu courant proposés dans les années 30 par A. Riout à Honfleur.

Il est difficile de déterminer la fromagerie d'origine de ces produits laitiers, mais en tout cas en apposant ces étiquettes, ce commerçant met en avant ses propres médailles glanées à Honfleur en 1919 et à Deauville en 1922.

                   
                   
  Sur les annuaires des professions de 1923 et 1928, ce commerçant figure dans la rubrique "Fromages en gros" et non "Épiciers en détail". Il figure aussi dans les annuaires du lait de 1927, 1929 et 1931 dans les "Marchands de beurre et fromages en gros", il s'était donc bien spécialisé dans la vente des fromages. On peut affirmer qu'il tenait une "crémerie".  

Ce commerce alimentaire était situé sur le vieux port au 32 quai Sainte-Catherine, une maison construite au XVI° siècle et inscrite aux Monuments Historiques depuis 1933.

Ce "BOF" (Beurre Oeuf Fromage) était situé sur le bord du Vieux Bassin, juste à coté du « Café de la Lieutenance".

L'épicerie a disparue et fait place maintenant au Café "L'Albatros" avec son restaurant "L'Annexe".

Sur l'étiquette figure aussi un voilier qui représente une chaloupe crevettière, peut-être la chaloupe Sainte-Bernadette,

construite à Honfleur en 1926 et restaurée de 1990 à 1992 par l'association " La chaloupe d'Honfleur ". 

Classée en monument historique en 1983, elle continue de naviguer et est toujours accostée dans le vieux bassin au quai Sainte-Catherine. 

Cette chaloupe est l'un des plus ancien bateau de pêche encore à flots en Normandie,

et l'un des plus précieux témoignage du patrimoine maritime de Honfleur.
rédaction ED                                          

09 novembre 2012

Bernard Wagner et sa passion tyrosémiophile à l'honneur

Une quinzaine d'exposants étaient rassemblés le jour de la Toussaint à Clermont-en-Argonne pour la bourse multi-collections. Le but était surtout d'échanger et non de vendre. Parmi les collectionneurs, Bernard Wagner sortait du lot.

Ce tyrosémiophile, autrement dit un collectionneur d'étiquettes de fromage, en possède 4 000 des fromageries de la Meuse. Il en existait 51 en 1941, aujourd'hui, le département n'en compte plus que six. Le collectionneur ne se limite pas à engranger les étiquettes, il fait également des recherches pour connaître l'histoire de chacune et le pourquoi du décor. Comme il l'explique lui-même, le dessin a été inspiré par un événement ou par une rencontre. Les plus anciennes étiquettes datent de 1800 et on recense 2 600 tyrosémiophiles (depuis 1957) en France, dont une majorité se trouve en Normandie.

 

L'Union L'Ardennais

 

12 octobre 2012
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"LE VIEUX CHATEAU" bientôt dans une série télévisée !

   

  

Valérie Damidot et son équipe ont tourné pendant trois semaines au domaine viticole du logis de Fontfroide un épisode de la série télévisée " Chez Bonnot ", suite de "Victoire Bonnot".

 

La date de diffusion sur M6 est annoncée entre novembre 2012 et janvier 2013.

Valérie Damidot incarne le rôle de Victoire Bonnot, qui veut devenir régisseur du domaine viticole de Fontfroide et reconvertir le logis en chambres d'hôtes. Pour les besoins du film, ce château charentais du XVI° siècle devient "Le Domaine du PuyBarrel".

"Le domaine viticole  a été un véritable coup de cœur, il nous fallait des vieilles pierres, et il  collait parfaitement à nos besoins, car il a l’intérêt de posséder deux faces, afin que Madeleine et Victoire, vu leur mésentente, habitent le même lieu sans être trop souvent en contact" argumente Jean-Pierre Duséaux, le producteur.

Ce furent trois semaines intensives, tant pour l’équipe de la série, que pour les viticulteurs et occupants des lieux. Patricia et Jean Croisard avaient du mal à reconnaître  leur habitation. Reconstitution des chais, réaménagement de certaines pièces du logis, loges, régie…. , un grand chamboulement qui n’a pas pour autant perturbé Jeannine Croisard, la doyenne de 89 ans propriétaire de Fontfroide "C’est vrai que ça fait beaucoup de monde d’un coup , mais autrefois  le domaine était très occupé , nous étions une grande famille et avec les employés nous arrivions à être  jusqu’à vingt personnes chaque jour autour de la table, et puis les acteurs sont charmants, surtout Valérie  qui de temps en temps vient me faire la bise. J’ai accepté le tournage, pour mes enfants, mais aussi pour valoriser ce patrimoine familiale acquis par mes parents".

Dans le film, le domaine appartient à Madeleine (Marie-Christine Adam), une comtesse autoritaire, en conflit avec tout le village, mais surtout avec Victoire Bonnot (Valérie Damidot), qui après avoir démissionné de l’éducation nationale se reconvertit dans la viticulture en tant que régisseur, mais sa véritable intention est de faire du social pour venir en aide aux jeunes en difficulté, cabossés par la vie.

En août 2012, le tournage de la série a générée une centaine de figurants et employés Charentais, mais aussi locaux. Bernadette et  Jean-Pierre Vrignon ne sont pas des novices puisque cela fait la cinquième fois qu’ils figurent dans des films, ici ils  ont joué les villageois, puis les vendangeurs et leurs rencontres  avec les acteurs sont toujours un plaisir. " L’Epiphyte",  la cantine du tournage qui a régalé entre 50 et 100 personnes chaque jour, était implantée en pleine nature, prés des chais et face à un champ de maïs, un peu  comme une aire de pique-nique.

Patricia et Jean Croisard ont vécu cette aventure avec intensité : "Ce fut une expérience très positive avec un échange entre deux cultures, la viticulture et le 7ème art."

rédaction ED / sources : Philippe Rebeix de Sud-Ouest, Josette Rebeix de La Charente Libre, SARL Cousard

29 septembre 2012

Où sont passées les fromageries de Haute-Saône ? 

12 septembre 2012

Esternay (Marne) - Le tyrosémiophile possède 7.000 étiquettes de boîtes de fromage

Daniel Cibois est un collectionneur dans l'âme. Sa passion, il l'a découverte en se promenant sur les quais à Paris 

 

Daniel Cibois s’est trouvé, depuis quelques années, une passion très originale. Il est tyrosémiophile, c’est-à-dire qu’il collectionne les étiquettes de boîtes de fromage et tout ce qui se rapporte à ceux-ci.


Originaire de Normandie, Daniel Cibois est venu passer sa retraite à Esternay. Il a vite adhéré au club Soleil d’automne pour se faire des amis et remplit la tâche de trésorier.


« Un jour, je me promenais sur les quais de Paris, explique-t-il. Et j’ai vu de belles étiquettes accrochées à l’étalage d’un bouquiniste. J’ai discuté avec ce dernier qui m’a indiqué l’adresse du club CTF (Club tyrosémiophile de France) et j’ai commencé comme cela. »


Classées par département
Aujourd hui, Daniel Cibois possède plus de 7.000 étiquettes. Elles sont toutes classées par département. La première qu’il a récupérée concernait un fromage normand, le livarot. Il est abonné au journal du club des grands collectionneurs, ce qui lui permet de faire de multiples échanges et des rencontres intéressantes. Même ses amis se prêtent au jeu et lui rapportent de quoi compléter sa collection lorsqu’ils reviennent de vacances…


« On apprend beaucoup de choses aussi, dit-il. Il faut savoir que Marie Harel a fabriqué le premier camembert à Camembert, un village du Calvados, et le premier de sa fabrication fut envoyé à Napoléon en 1781 ! »
Finalement, avec un camembert, on refait l’histoire et la géographie. « En effet mon petit-fils s’amuse à m’aider et cela nous permet de réviser nos connaissances sur les départements français. »


Daniel Cibois est même parrain d’une vache nommée “Télécarte”. Et, pour s’amuser, il a créé quelques classeurs en plus : rien ne se jette et il collectionne, sur un second plan, les étiquettes de bouteilles d’eau, les marque-pages, les étiquettes que l’on peut trouver sur les fruits et légumes, les cartes de visite d’hôtels… Il garde également les sous-bocks de cafés et commence à voir ses collections s’étoffer.


A ce jour, il existerait près de 2.000 collectionneurs de boîtes d’emballage de fromages. La recherche de la perle rare est toujours un but en soi.

04 septembre 2012

L’effigie du maire de Camembert sur 100 000 boîtes de fromage

Jean Gaubert, maire de Camembert, dans l’Orne, est immortalisé sur une étiquette de fromage, créée à son intention pour honorer ses cinquante ans de mandats.

 

L’initiative de cette opération revient à Alain Trampoglieri, secrétaire général du concours national de La Marianne d'Or, le « concours du bon usage de la démocratie locale ». 

 

Jean Gaubert est élu au conseil municipal de Camembert depuis 41 ans (dont 23 années en tant que maire), auxquels La Marianne d’or ajoute neuf années de mandats syndicaux et associatifs.

 

100 000 boîtes portant l’étiquette sont commandées dont une partie renfermera des fromages de la production de François Durand, dernier producteur fermier du village ornais de 200 habitants.

 

Ces camemberts sont destinés à être distribués dans d’illustres maisons, notamment l’Élysée, le Sénat ou l’Assemblée nationale…

source : Ouest-France

11 août 2012

 

Saint-André-de-la-Marche (Maine et Loire)

 

Joël Rocher, un Andréatain avec la passion du patrimoine

 

Portrait

Joël Rocher, conseiller municipal et trésorier de la Société d'archéologie, de généalogie et d'études de l'histoire andréataine, (SAGEHA) est un Andréatain pure souche et épris de culture sous toutes ses formes.

Dans son sous-sol, dans une pièce, sont disposées 3 000 étiquettes de camembert environ, ainsi que quelques objets, témoins de son passé dans l'épicerie.

Joël Rocher est né en 1946, fils d'un couple d'épiciers tenant boutique rue de la Libération. « Je suis né dans l'épicerie », a-t-il confié. Joël se souvient bien de ses parents qui, le mardi et le vendredi, partaient avec leur cargaison de fruits et légumes, protégée par une bâche américaine pour faire les marchés de Nantes, Montfaucon-sur-Moine et Saint-Macaire-en-Mauges.

Enfant, sitôt l'école terminée, il donnait un coup de main à ses parents qui ne fermaient leur commerce que le dimanche après-midi. Il les accompagnait sur le marché, pendant les vacances scolaires. À l'époque, il existait sept épiceries dans la commune et, petit à petit, le commerce des époux Rocher a pris de l'extension : de fruits et légumes, il passe à l'épicerie.

Enfant, le moindre petit cadeau fait par un représentant, faisait le bonheur de Joël. « On était content par des bonheurs simples », avoue-t-il et on ne peut que l'approuver. À 20 ans, Joël reprend l'épicerie familiale, son père étant décédé lorsqu'il avait 18 ans. Il est aidé par sa mère, alors âgée de 51 ans et sa jeune sœur. Pour Joël, « c'était dur mais on avait une clientèle agréable ». Et voici que, petit à petit, il garde les étiquettes de camemberts et en fait une collection impressionnante car, 90 % des étiquettes vantant les fromages, n'existent plus aujourd'hui.

Joël possède des étiquettes en double et il est prêt à les échanger. La plus vieille date des années 1940 et Joël les a classées par thème : les oiseaux, les enfants, les personnages fantaisistes et d'autres encore. Les deux Angevines, Dupont d'Isigny, les Prélats, Frère Clément et Père Boniface, soit une infime partie de la collection, fleure le bon temps et les souvenirs d'enfance reviennent, intacts et plein de fraîcheur.

Ouest-France

15 juin 2012

 

"SE MEFIER DES CONTREFACONS"

 

La renommée d'un produit attire forcément l'attention. Les petites marques cherchant quelquefois à imiter de très près le produit vendeur du moment. Les premières grandes marques de l'époque craignaient déjà la concurrence déloyale et leurs pseudo-imitations.

 

Pour prévenir le client, ces grandes marques affichaient parfois sur leur produits des maximes comme : « Se méfier des contrefaçons », une phrase utilisée par de nombreuses publicités de l'époque comme « Chocolat Menier » pour ses affiches et ses plaques émaillées.

 

 

Il est étonnant de trouver cette maxime sur cette étiquette, qui à la vue de cette fromagère, imite grandement l'étiquette de « Jort ». De plus, les « Grandes Fromageries de Lort » dans le Calvados sont bien connues pour leur inexistence... Avec ce fromage, au moins le client est prévenu de l'existence d'imitations!

 

L'origine de ce fromage demeure inconnue, peut-être le mot "Lort" est dû tout simplement à une faute d'orthographe.

En effet, pour une erreur de frappe, une lettre inversée, une maquette tachée, une poussière incrustée, une double impression, quelquefois les imprimeurs mettaient de coté ou jetaient à la benne des lots entiers d'étiquettes. C'est ainsi que des tyrosèmes bizarroïdes ont été récupérés et se retrouvent maintenant dans les collections.

rédaction ED

       

09 juin 2012

 

Changer le nom du fromage : indignation à Bougon

 

 

Parmi les manifestants, l'un des plus virulents avec les responsables de Terra Lacta

n'était autre que le conseiller régional maire de Melle, Yves Debien.

 

 

La coopérative laitière Terra Lacta a annoncé son intention de remplacer Bougon par Saint-Loup sur ses fromages en boîte vendus en grandes et moyennes surfaces. Indignation de la population, des producteurs et des élus.

Le ton est monté, parfois très fort, hier après-midi, sur le parking de la laiterie de Bougon. Un désaccord sur fond d'intérêts divergents entre la coopérative laitière (Terra Lacta) d'un côté et la population, les élus, les producteurs de l'autre.

Fondée en 1906, la laiterie coopérative de Bougon est la plus ancienne des Deux-Sèvres. Le nom de la commune sur les étiquettes des fromages de chèvre en boîte distribués en grandes et moyennes surfaces, c'est donc fort logiquement la vitrine, l'identité de la commune, une des fiertés du canton de La Mothe-Saint-Héray. (>>voir la vidéo)

  « On essaie de nous imposer le nom de Saint-Loup alors que le fromage, dans la boîte, resterait le même, expliquent Caroline Comte et Dominique Guérin, l'un thermisé à 30° et l'autre pasteurisé. C'est incompréhensible et illogique, et qui nous dit par ailleurs que ce n'est pas la première étape vers une baisse d'activité de la laiterie de Bougon ?»
Légitime interrogation, mais radicalement balayée par Patrick Charpentier, vice-président du groupe laitier : « Il n'y a aucune crainte pour le site, au contraire nous souhaitons le faire monter en puissance. Mais nous avons mené une enquête de consommation qui a mis en évidence que Saint-Loup est une marque plus porteuse d'image que Bougon. Notre objectif, il ne faut pas l'oublier, c'est avant tout de ramasser du litrage pour vendre du tonnage».
Et les dirigeants de Terra Lacta d'affirmer que la marque Bougon subsisterait… « sur les produits de caractères, en format 800 g ou 1 kg, car les vrais connaisseurs de chèvre l'achètent à la coupe». Jean-luc Boderiou, directeur commercial de Terra Lacta, lors de la discussion qui s'en est suivie dans une salle de la laiterie, avait déjà devant lui les futures étiquettes de l'ex-Bougon rebaptisé Saint-Loup.
Le conseiller régional, maire de Melle, Yves Debien, s'est montré des plus virulents. Et la ministre-députée Delphine Batho, tout en se contenant visiblement, n'a pas caché sa désapprobation. Quant au maire d'Exoudun, Jean-Marie Auzanneau, il a trouvé une formule percutante : « Votre projet, c'est une spirale mortifère, pourquoi ne pas développer l'aspect historique, la tradition, c'est la toute première laiterie, c'est là-dessus, justement, qu'il faut communiquer».
Mais est-il encore temps de faire renoncer la grosse coopérative à son projet ? Le pot de lait contre le pot de fer…
 
  LLa Nouvelle République  
       

24 mai 2012

 

parution du livre d'Emmanuel Gautier :

"Le Royal Lisieux"

   

 

 

Avec "Le Royal Lisieux", souvenirs d’une laiterie du Pays d’Auge, Emmanuel Gautier retrace l’histoire d’un projet entrepreneurial familial, développé par son arrière-grand père, Paul Gautier, à Lisieux, au tournant du XIX° siècle : de 1870 à 1980 avec quatre générations de beurriers, les Établissements Gautier auront permis de valoriser une production agricole locale en donnant du travail à des centaines de familles augeronnes, tout en privilégiant un marché régional pour les produits laitiers fabriqués.

Dans sa belle préface, Bernard Devert souligne d’ailleurs :

« Ce siècle d’entrepreneuriat, de Pierre-Louis et Armand Gautier, fondateurs, à Pierre Gautier, témoigne d’une volonté d’entreprendre exprimant clairement les raisons de l’agir dans cette constante recherche de trouver de nouvelles façons d’agir pour sécuriser l’emploi et valoriser le territoire : une aventure qui, pour mettre en cohérence la richesse des biens avec celle des liens, conserve une singulière et urgente actualité. »

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article de Ouest-France

Pour se procurer le livre :

 

emmanuel_gautier@aliceadsl.fr

 

Tél : 06 84 97 93 99

--------

ISBN : 978-2-84706-506-0

 

       
27 avril 2012

Le moulin de Grenon

 
Le Moulin de Grenon est situé en Suisse Vendéenne au bord de la Sèvre Nantaise sur la commune de Saint Aubin des Ormeaux.

plan de situation
 

La base de ce moulin à eau date de 1740. Il servait à l'origine à moudre le blé. Il est situé sur un terrain de 850m2 dont 150m2 sur l'autre rive, il est constitué de trois niveaux.

Au rez-de-chaussée, une grande pièce abrite une partie de l'ancien mécanisme et une belle cheminée en granit. Le chenal de la roue traverse encore le bâtiment.

Dans les années 1920, la bâtisse est utilisée en fromagerie. En 1927 et 1931, elle est référencée "laiterie Industrielle".

 

 

Durant les années 1934, 1936, 1937, cette publicité témoigne de son appartenance au groupement créé par Léopold Gallais, qui fabrique des yaourts et des fromages à la laiterie de Montfaucon sur Moine, dans le Maine et Loire.

rédaction ED
07 avril 2012
Lorsque les chérubins participaient au marketing normand.

En ce début de XX° siècle, voici une tendre façon de présenter les bons fromages normands. Ces doux chérubins, aux joues potelées et au cœur tendre posent avec simplicité et innocence au milieu d'un monde fromager qui nous laisse rêveur !

 

Ces cartes postales s'accompagnent toutes d'un poème épicé de Charles Pitou.

 

Celui ci-dessous est mon préféré. Il accompagne une carte représentant un homme se pinçant le nez.

Nos fromages - Le livarot

Par sa pate onctueuse et par son fort "ramage"

Il délecte plus d'un gourmand;

C'est pour lui qu'on fit la Chanson du Bon Fromage

Si célèbre au pays normand.

                                 Charles Pitou

Nos fromages - Le fromage de l'Aigle

Si votre belle-mère, enfin, suivant la règle,

De tant d'ans révolus sent le nombre finir,

Mettez lui sous le nez un fromage de l'Aigle,

Soudain vous la verrez d'un seul coup revenir!

                                 Charles Pitou

Fromages Normands

"Qu'ils viennent de Saint-Cyr, de l'Aigle, ou de Lisieux,

Pourquoi dire leurs noms ? tous sont délicieux.

Et, sachant que pas un gourmet ne les dédaigne,

Ainsi que le bon vin, ils se passent d'enseigne."

                                 Charles Pitou

Nos fromages - Le camembert

En appuyant le pouce, appréciez vous-même

Si, dans sa boite, il n'est ni trop sec, ni trop mou.

Et, le prenant ainsi, quel régal ! Pour le coup

Le camembert est un poème !

                                 Charles Pitou

Etiquettes provenant de la fromagerie Van Loyen, au Domaine de la Croix Rouge, dans la vallée de l'Iton à St-Ouen-sur-Iton près de L'Aigle (Orne)

    rédaction ED  
  05 avril 2012

Bailleul et La Flandre

Bourse des collectionneurs : à la recherche de pièces de musée

Pierre Caucheteux, de Steenvoorde, a trouvé de quoi enrichir les collections du musée des Métiers anciens disparus et oubliés.

Dimanche, la bourse des collectionneurs organisée par la Pétanque casseloise ...

...a réuni trente-six exposants à la salle des fêtes. Parmi les nombreux visiteurs, Pierre Caucheteux (le fils), de Steenvoorde. « J'ai acheté des étiquettes de Camembert de Normandie, des cartes postales de coiffes normandes, des gravures. » Elles rejoindront le musée des Métiers anciens disparus et oubliés de Saint-Aubin-de-Terregatte, en Basse-Normandie, près du Mont Saint-Michel. « C'est ma passion. J'y ai adjoint une cave cidricole traditionnelle, métier pour lequel je me suis formé pendant cinq ans dans l'esprit des Compagnons du devoir », précise le collectionneur ravi de sa venue à Cassel.

jeudi 05.04.2012 - La Voix du Nord

    18 mars 2012

  

"J'ai le plaisir de vous informer du lancement d'un appel à souscription pour la production de mon prochain documentaire animé

intitulé Benjamin Rabier. Le montant des soutiens débute dès 5 euros
Vous trouverez sur ce lien toutes les informations concernant le projet ainsi que les actualités qui y sont liées :

Votre soutien nous aidera à financer la séquence d'ouverture du film en animation 2D

où l'on va reconstituer le Marché des Halles de Paris en 1900 à partir de vieilles cartes postales,

archives photos, d'iconographies de l'artiste et de films d'animations de l'époque. 
                                                                                                
Elle permettra au spectateur :
De découvrir un lieu mythique de Paris aujourd'hui disparu
De mieux comprendre la personnalité de Benjamin Rabier
D'inviter le spectateur à faire un voyage dans l'imaginaire de l'artiste.

Tout le monde connait la Vache qui rit mais personne ne connait l'artiste qui se cache derrière ce logo mondialement connu.
A la manière de mon précédent documentaire sur O'Galop, illustrateur et inventeur du Bibendum Michelin,

le film Benjamin Rabier est un portrait d'un artiste hors norme sous la forme d'un documentaire animé

qui explore son univers graphique, raconte sa vie et son œuvre en utilisant des techniques d'animation 2D.
Benjamin Rabier
(1864-1939) fut illustrateur pour la jeunesse, affichiste, pionnier du dessin animé bien avant Walt Disney,

créateur de Gédéon le canard et de la Vache qui rit. Il est devenu pour la postérité: « L’homme qui fait rire les animaux ».

  

  

Cette souscription permettra de lancer la production de cette séquence du film et se déroule sur 60 jours. 

Pour ceux qui ne connaissent pas Ulule, il s'agit d'une plate-forme de production communautaire

qui permet à tout à chacun, particulier ou entreprise, de participer à la production d'un projet.

En retour de votre soutien, nous vous proposons différents types de contre-parties : DVDs, affiches, livrets,

CD de la musique du film, invitations à l'avant-première, sur le lieu de fabrication du film,

organisation d'atelier de sensibilisation au cinéma d'animation ...

 

J'espère que vous trouverez ce projet suffisamment excitant et singulier pour avoir envie d'y prendre part

et de faire suivre ce message au maximum. Nous restons à votre disposition pour toutes informations complémentaires."

Vous êtes les bienvenus. Marc Faye, réalisateur et l'équipe Novanima

--

Novanima Productions - 0553352012 - alienor@novanima.com - skype : novanima.prod

14 mars 2012

Albi. René possède 18 500 étiquettes de fromage

  

Cet homme est tyrosémiophile, le seul recensé dans le département du Tarn. Est-il atteint d'une maladie rare ? Non, rassurez-vous. Le seul virus qu'a pu attraper, René Souplet, 70 ans, est celui de collectionner les étiquettes de fromage.

Ce retraité de la gendarmerie, Lorrain d'origine et Albigeois d'adoption, en possède plus de 18 000 à son actif ; 18 500 pour être exact. Des simples étiquettes de grandes surfaces, en passant par les trésors des localités jusqu'aux vignettes étrangères, le collectionneur s'est construit un véritable temple de la fromagerie dans le petit bureau de son domicile.

Du 19e siècle à aujourd'hui, la découverte des marques de fromage vaut le détour. « Ma fille cadette stockait quelques étiquettes quand elle était petite. Un jour, j'ai retrouvé cette boîte en me demandant si ces objets avaient de la valeur. Je me suis alors intéressé à la tyrosemiophilie (NDLR du grec Tyros : fromage, Sémios : signe, Philos, ami) et j'ai adhéré au club C.T.F.».

  

36 nationalités différentes

Depuis 20 ans, l'homme recueille, échange et range ses images dans des classeurs, minutieusement alignés sur ses étagères. « Toutes mes étiquettes sont classées par départements, pays ou marques et archivées sur l'ordinateur ».

Reconnu dans la région et au niveau national, René fait son petit marché auprès d'autres collectionneurs, brocantes et proches. Le bouche à oreille tourne notamment à plein régime. Mais ce n'est pas pour l'argent que l'homme tient cette grande collection, mais bien pour le plaisir. « Il n'y a pas de cotes pour les étiquettes de fromages, comme il pourrait y en avoir pour d'autres objets. Les seules vignettes que j'achète sont celles répertoriées au club de France pour la modique somme de 10 centimes ».

Outre l'aspect esthétique des affichettes, René Souplet admire également le côté historique de certaines. « L'étiquette idéale est celle qui raconte une histoire » explique le tyrosémiophile qui possède une belle enseigne couvrant les meules de Beaufort ou encore les fameuses stars « Vache qui rit ». « Des pièces rares » pour le connaisseur qui enregistre aussi 36 échantillons de nationalités différentes. « J'ai des vignettes russes, arabes, belges, allemandes etc. ».

Par plaisir de les regarder, analyser et échanger, René Souplet, le collectionneur tyrosémiophile compte bien faire perdurer sa passion du « textile fromager ».

Depuis qu'il est retraité de la gendarmerie, René Souplet s'est pris de passion pour la Tyrosémiophilie./Photo DDM Jean-Marie Lamboley.

  

Le chiffre : 208

tyrosémiophiles>En France. C'est le nombre recensé par le C.T.F. où est affilié René Souplet. Certains grands collectionneurs possèdent jusqu'à 80 000 étiquettes de fromage. La région compte 3 collectionneurs, dans le Tarn, en Aveyron et dans le Tarn-et-Garonne.

sources : http://www.ladepeche.fr

13 février 2012

    

Une journée sera vouée aux


« Fromages de l’Yonne, d’hier et d’aujourd’hui »

Dimanche 19 février, à Dixmont (Yonne)

Conférences, projections et expositions encadreront un repas au cours duquel on dégustera de nombreux fromages (Soumaintrain, Saint-Florentin, Chaource, Vézelay, fromage blanc, etc.) provenant de divers producteurs ! La journée sera animée par les tyrosémiophiles Patrick Bertin et Gérard Machavoine ; un parcours historique et géographique à travers les terroirs fromagers de l’Yonne sera commenté par Francis Marquet, professeur à l’Ecole de la Brosse ; enfin, Jeanne Leclère, fermière à Soumaintrain, viendra nous présenter ses fromages...

- Rendez-vous en salle des fêtes à partir de 10 h 30.
- 12 h 30, Repas avec dégustation de fromages et de desserts lactés variés. Vins de l’Yonne appropriés.

Tarifs : 20 €. Réservation auprès de Georges Ribeill (03 86 96 05 37)

ribeillgeorges@orange.fr


Partage des passions et échange des savoirs, convivialité et détente

07 février 2012

 

Zoom sur l'étiquette "Thierry"

   

 

Cette étiquette de fromage type "camembert", à 50% de matière grasse, a été réalisée et imprimée par l'entreprise Garnaud à Angoulême pour la Coopérative Laitière de Chaunay dans la Vienne. 

L'inspiration de ce tyrosème ne fait aucun doute, il s'agissait de rappeler à travers cette étiquette le monde chevaleresque de "Thierry la Fronde", héros du feuilleton diffusé sur l'ORTF de 1963 à 1966.

En fond de plan le château-fort de Montbrun en Haute-Vienne apparaît inversé sur l'étiquette.

  

Concernant les figurines, il s’agit de sujets médiévaux en plastique fabriqués par la marque "Starlux" :

- Le cavalier sur le cheval au galop à droite date de 1959 (réf. 6101 bis)

- Le cheval en harnois à gauche a été fabriqué à partir de 1963 (réf. 6101 hg)

- Le piéton date de 1964 (réf. 6052)

 

L'étiquette date donc au plus tôt de 1964.

    rédaction ED    

29 janvier 2012

 

exposition sur "La Vache Qui Rit"

auquel participe Marcel Gousseau

 

un des tableaux exposés par Marcel

 

de mars à septembre 2012 à la maison des maîtres de digues

Pôle culturel & touristique du marais Poitevin

7 rue de la coupe du rocher 

à Chaillé les Marais - en Vendée, entre Luçon et Marans

Maison.maitrededigue@orange.fr

Tél 02 51 56 77 30

 

horaires d'ouverture :

de 10h00 à 13h00 et 14h00 à 18h00

fermé le samedi sauf en juillet & août

 

comptez 1h30 de visite si l'on veut tout lire et regarder

 

Marcel Gousseau est preneur d'autres documents ou informations pour les 90 ans de la VQR

Soit par Email à lumamogette@orange.fr

ou soit par courrier à Marcel Gousseau - 45 Boulevard Anatole France - 53100 Mayenne.

20 janvier 2012

 

Un éclairage sur plusieurs étiquettes

   

-fleur-eglantine-98-101.jpg (67488 octets)

41 - Laiterie de la Fontaine

à Rhodon

-signature-gef98-01.jpg (61749 octets)

76 - Laiterie de Lillebonne

-paris98-04.jpg (59580 octets)

60 - Loevenbruck

à La Chapelle des pots

14 - Henri Serey

à Putôt en Auge

14 - Ets Godefroy

à Orbec en Auge

98-delange01.jpg (93213 octets)

14 - Laiterie Coopérative

de la Région de Bayeux

saint-pierre.jpg (174097 octets)

14 - Marcel Lefebvre

à Saint-Pierre-la-Vieille

chateau97-35.jpg (113615 octets)

76 - Laiterie Coopérative de la Vallée de la Saane à Royville

98-lune05b.jpg (140312 octets)

59 - Les Fermiers Réunis

à Steenvoorde

  

sources : Sophie & Jean-Christophe Gérard

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