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19 décembre 2008

Etude sémiologique d'une étiquette de Saint-Nectaire

L'homme aux 40 000 étiquettes de fromage !

18 décembre 2008

 

Article sur "La Manche Libre"

L'homme aux 40 000 étiquettes de fromage !

Gérard Philippe a réuni jusqu' à présent près de 40 000 étiquettes de boîtes de fromages, ainsi qu'une imposante collection d'ustensiles en rapport avec la production laitière.

 

Artisan-peintre à Portbail, Gérard Philippe est un collectionneur passionné d'étiquettes de boîtes de fromage.

 

Département laitier s'il en est, la Manche fut, dans le passé, encore plus marquée par cette activité. Les exploitations, alors beaucoup plus petites en moyenne que celles d'aujourd'hui, étaient aussi nettement plus nombreuses. Il en va de même des laiteries.

Cette époque révolue a laissé de nombreux témoignages, conservés dans des musées, tel celui de la ferme du Cotentin à Sainte-Mère-Eglise ou celui du Bois-Jugan à Saint-Lô. Plus modestement, des amateurs passionnés s'attachent à rassembler des objets qui rappellent eux aussi l'activité laitière d'hier dans le département.

 

Des dons et des échanges

Gérard Philippe, artisan-peintre à Portbail, près de Barneville Carteret, est de ceux-là. Il se trouve à la tête d'une impressionnante collection d'étiquettes de boîtes de fromage et d'ustensiles divers en rapport avec la production laitière.

"Pour moi, tout a commencé à l'âge de 11 ans lorsqu'à l'école on se servait de ces étiquettes dans un but pédagogique. Rapidement, je me suis lancé avec passion dans leur collection." Celle-ci, nourrie par les dons de toute sa famille, s'est d'abord étoffée lentement. Puis, l'âge venant, Gérard Philippe a appris à classer sa collection, qu'il a poursuivie en récupérant les étiquettes auprès des laiteries, ainsi qu'au moyen d'échanges au sein de clubs de collectionneurs.

"Il y a eu jusqu'à 120 laiteries en activité, la Manche en comptant environ 40 au début des années 1950. Avec pour chacune d'elles des étiquettes dont les motifs et les thèmes ont évolué avec le temps." Cet effectif diminuait sensiblement à partir des années 1970, du fait surtout de regroupements, au point qu'aujourd'hui, ces laiteries ne sont plus qu'une dizaine dans la Manche. Mais la tâche du collectionneur s'avère particulièrement vaste même dans ces conditions. Surtout s'il veut parvenir à réunir une collection à jour pour chaque laiterie. Pour ces passionnés, le but n'est pas tant de posséder des pièces rares que de réunir des séries complètes. Ce qui présente de réelles difficultés et nécessite patience et curiosité. Ainsi, "il peut y avoir parfois de 20 à 30 étiquettes par laiterie, pour les plus grandes d'entre elles."

 

Une étiquette de 1904

En agissant par ses propres moyens, l'artisan de Portbail avait réussi à rassembler, au milieu des années 1980, près de 3 000 étiquettes. Ce nombre allait décupler au cours des quinze années suivantes grâce aux échanges entre collectionneurs. Comme il n'existe pas de cote financière pour les étiquettes de boîtes de fromages, leur valeur s'apprécie en fonction de plusieurs critères : l'ancienneté, la rareté, les motifs, mentions et dessins. Une étiquette peut ainsi s'échanger contre deux ou trois autres par exemple. "L'étiquette la plus ancienne que je possède date de 1904. Quant à celles qui sont assez rares, il y a celle de l'ancienne laiterie de Quinéville." Aujourd'hui, tout en étoffant sa collection, Gérard Philippe en poursuit une seconde, commencée il y a cinq ans seulement. Celle-ci porte sur les ustensiles divers utilisés par les producteurs de lait ou par les laiteries. Là encore, l'amateur a fort à faire entre les cannes, faisselles, barattes, cloches à beurre, bouteilles en verre, bidons et pots à lait en étain, et autres écrémeuses.

"Le fleuron de cette collection est une charrette à âne, dont les dernières étaient encore en service dans les fermes au début des années 1970." La quantité d'objets rassemblés est telle que le collectionneur aurait besoin d'un vaste local pour tout exposer. En attendant, sa passion le met toujours à l'affût de ce qui pourrait enrichir sa collection et le pousse à en restaurer les pièces les plus abîmées.

Fabrice Constensoux

 

Historique

Actuellement en activité, Gérard Philippe sait déjà qu'il sera fort occupé une fois venu le temps de la retraite. Non seulement il continuera sa collection d'étiquettes et d'ustensiles 'laitiers�, mais encore il entreprendra d'écrire une histoire des laiteries de la Manche.

 

Tyrosémiophiles

L'artisan de Portbail est, dans sa famille, le seul à avoir contracté le virus de la collection, ses enfants ne marchant pas dans ses traces. Mais dans la Manche, ils sont une dizaine à être animés de la même passion, la tyrosémiophilie, un effectif qui est d'un millier à l'échelle de la France entière.

 

130 000 étiquettes

En dépit des difficultés qu'il rencontre aujourd'hui pour se procurer des étiquettes auprès des laiteries, Gérard Philippe ne cesse d'accroître sa collection. Peut-être atteindra-t-il le record de 130 000 étiquetttes détenu par un collectionneur nonagénaire.

 

Laiteries

Le temps n'est plus aujourd'hui aux laiteries de petite taille qui, en Normandie, ne collectent plus que 9% de la production. Les principales entreprises de ce secteur sont Lactalis, la Compagnie laitière européenne, Danone, Les Maîtres laitiers du Cotentin, et la coopérative Isigny Sainte-Mère."

"La Manche libre"

6 décembre 2008

 

 

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30 septembre 2008

 

Fromagerie du Domaine de Saint-Maclou

 

 Lepetit pendant 88 ans -  Besnier/Lactalis pendant 33 ans

Et maintenant la fermeture annoncée

  

C'est sans doute la plus ancienne fromagerie de camemberts du Calvados en activité en 2008 qui va fermer. Il s'agit du Domaine de Saint-Maclou, à Sainte-Marie aux-Anglais, commune fusionnée  à compter du début 1973 avec celle du Mesnil-Mauger.

Fondée en 1872 par Léontine et Auguste Lepetit, la première fromagerie Lepetit se situe à Saint-Pierre-sur-Dives, route de Théville. C'est en 1890 que le couple devient propriétaire du Domaine de Saint-Maclou.

Les raisons sociales successives ont été : A. Lepetit et ses fils au moins à partir de 1910, puis Henri Lepetit.

En 1975, Besnier acquiert 30 % du capital de Lepetit et y devient majoritaire en 1978 (F.L.S.A. à Saint-Pierre-sur-Dives) ; quarante ans après, Lactalis/Besnier ferme ce site.

 

Telle est donc la fin peu glorieuse de l'une des très grandes fromageries de camemberts.

 

*

Pour les collectionneurs, cette fromagerie est identifiée par le « code-lettre » 14 AH et par le « code chiffre » 14.422.01.

 

Ses étiquettes les plus connues sont :

      celles qui représentent « Serpentine », la célèbre vache normande représentée couchée, dans son ovale ; cette championne laitière au Concours Agricole de 1924 est sans conteste la vache « réelle » -par opposition à la Vache (rêvée) qui rit- la plus starisée ; labellisée Véritable Camembert de Normandie (VCN), puis AOC Camembert de Normandie, elle a fini sa carrière en camembert au lait thermisé.

         - « le laizon », en camembert ou en fromage, avec le pont en premier plan , puis la rivière, les vaches et les pommiers en fleurs

         - l'abbaye de Saint-Pierre-sur-Dives

         - le manoir de la Pipardière

         - le sportman.

 

Les Lepetit ont, au total, déposé peu de marques pour Saint-Maclou.

Celles qui nous sont aujourd'hui connues sont les suivantes :

         en 1910, camembert supérieur de l'Abbaye, camembert Le supérieur (vache),

         en 1924, beurre de Normandie, camembert Le supérieur (fromagère),

        

*

      en 1931, camembert Elmire Bisson.

La marque Lepetit aura été utilisée par Lactalis pour du chaource ou du coulommiers, dissolvant ainsi sa forte identité de camembert. Le coup fatal aura été l'abandon du lait cru, au profit du lait thermisé, et donc la perte de l'AOC.

Bien sûr, Lactalis demeure propriétaire de nom de marque Lepetit.

 

*

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10 septembre 2008

 

Pierre Pelletier a la « collectionnite ».

 

Pierre Pelletier collectionne tout : les fèves, dont il possède plus de 5.000 modèles, les paquets de cigarettes, les étiquettes de fromages…
 
Pierre Pelletier est non-fumeur. Ce qui n'empêche pas ce Thouarsais de 58 ans d'avoir amassé dans son grenier entre 5.000 et 6.000 paquets de cigarettes. L'explication ? Il a la « collectionnite ». Au rang de ses (nombreuses) passions, il est également tyrosémiophile (c'est contagieux), tendance religieuse. Pierre Pelletier collectionne ainsi les étiquettes de fromages.
Son péché mignon, ce sont les représentations cléricales qui font les beaux jours de cette spécialité. Il possède 25.000 pièces : « C'est un domaine sans fin qui permet d'aborder les blasons des régions, les costumes folkloriques, les monuments, l'histoire de France, la faune et la flore, etc. »
Autre objet de bonheur pour Pierre Pelletier : les fèves. Dans son grenier, au fond de cartons ou encore sur de jolis petits présentoirs de toutes sortes, il en conserve environ cinq mille. « Dès le début décembre, je me rends chez les boulangers de la ville. Et je réserve leurs séries complètes de fèves, en demandant les socles qui vont avec », explique celui qui se qualifie lui-même de « fêlé » de la collection.
Le reste du temps, il reçoit, mensuellement, des modèles distribués par un éditeur ou bien se rend à la bourse aux collections organisée chaque printemps à Thouars. Bien sûr, comme lorsqu'il était tout jeune, il garde précieusement ce qu'il trouve chaque fois qu'il déguste une galette des rois. « A condition, évidemment, que ce ne soit pas ces fèves en plastique blanc sans valeur… » La céramique, rien que la céramique.
 
“ JE REGARDE LES FÈVES AVEC LE REGARD QUE PEUT AVOIR UN ENFANT DEVANT UNE CRÈCHE ”
 
Il a, de toute façon, l'embarras du choix tant les thèmes sont variés. Parmi ses trésors, on s'étonne à peine de trouver une série de fèves représentant… douze positions du Kama Sutra ! Moins saugrenues, mais peut-être plus finement travaillés, il y a celles inspirées par le Petit prince de Saint-Exupéry ou encore par l'héroïne de BD, Bécassine. « Je regarde les fèves avec le regard que peut avoir un enfant devant une crèche », résume joliment le collectionneur.

Pierre Calmeilles, La Nouvelle République

 

26 août 2008

MARCEL GOUSSEAU, ancien babigeot, vous annonce sa future expo sur LE BEURRE
salle de la mairie commune de LE TATRE (16) près de BAIGNES et BARBEZIEUX
(sud Charente), à partir du 19 sept APRES MIDI jusqu'au dimanche soir 21 sept 2008,
à l'occasion des journées du Patrimoine CHARENTAIS.
 

 

2 juin 2008

 

Etienne de Banville

interrogé par forez-info.com

http://www.forez-info.com/encyclopedie/traverses/fabrique_en_normandie_2753.html

 

1er mai 2008

 

Sortie officielle de la brochure d'Etienne de Banville

"LES POILUS ET LES FROMAGES"

possibilité de commander également le poster

 

    

- pour l'actualisation des frais de port, voir cette page

 

 article sur zoom42.fr

 

    

02 avril 2008

 

Marcel Gousseau collectionne les papiers de beurre

Dans ses classeurs, Marcel Gousseau collectionne

plus d'un millier de papier de beurre. Une passion

qui lui vient de ses années passées dans l'industrie laitière.

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Ce butyrupapiphiliste, ancien employé de l'industrie laitière, conserve chez lui plus d'un millier de ces emballages, qu'il collecte avec dextérité.

Dans le congélateur de Marcel Gousseau, les plaquettes de beurre s'empilent allégrement, attendant d'être consommées. Dès qu'il fait ses courses, ce collectionneur de papiers de beurre se précipite vers son rayon de prédilection, incapable de résister à l'attrait d'une étiquette qu'il ne possède pas encore. « Un jour, en vacances, j'ai acheté trois plaquettes d'un coup. J'ai dit à la caissière que ce n'était pas pour le beurre, mais pour le papier », se plaît-il à raconter.

Doux, demi-sel, de Guérande, d'Issigny, 100 grammes ou 5 kg, papier doré ou argenté, sulfurisé ou indéchirable, Marcel Gousseau collecte tous les papiers, sans exception. Même les marques de distributeur. Classées avec soin « par départements et par usines », ses quelque 1 000 étiquettes reposent dans des pochettes en plastique, témoignant à leur manière d'une facette du patrimoine laitier.

« Celui-ci, c'est un beurre de «Charente inférieure», quand ce département existait encore », commente Marcel, tournant frénétiquement les pages, allant d'un classeur à l'autre. « Et celui-là s'appelle Célia, c'est l'anagramme d'Alice, qui était l'une des fondatrices de l'usine de Craon. Maintenant, c'est connu sous un autre nom. » À mesure qu'il se plonge dans ses étiquettes, Marcel retrouve aussi une partie de lui-même. « J'ai travaillé dans le lait pendant 35 ans », confie-t-il.

 

En Vendée puis en Charente, il est responsable séchage dans de grandes laiteries, dont celle de Baignes (Charente), qui a fermé ses portes en 1984, licenciant tous ses salariés, dont Marcel. « J'ai écrit 53 lettres de motivation et je me suis retrouvé à travailler dans le 53 », plaisante-t-il. À la retraite depuis trois ans, Marcel voit chaque jour son ancienne laiterie depuis sa véranda.

C'est à l'âge de 24 ans que ce collectionneur attrape le virus du butyrupapiphiliste. « J'étais à l'école laitière à Surgères quand j'ai commencé. » Et pourtant, lors d'un déménagement, il jette tout sans réfléchir. Pour mieux récidiver il y a six mois. Pour reconstituer son butin, Marcel emploie divers moyens : l'échange avec d'autres collectionneurs, hélas peu nombreux, les demandes par courrier auprès des usines encore existantes.

Et dès qu'il se trouve près d'une laiterie en activité, il ne peut s'empêcher d'y pénétrer pour demander ces étiquettes sacrées en direct. Et certains le lui rendent bien. « J'ai reçu une lettre de félicitations du directeur d'une laiterie, pour me dire que je savais conserver le patrimoine laitier ». Mais Marcel reste modeste. « C'est beaucoup plus facile de collectionner les papiers de beurre que les étiquettes de fromage, qui sont bien plus recherchées. »

Élise CHIARI - Ouest-France

25 mars 2008

Le "camembert de Normandie" restera au lait cru

Au printemps 2007, après une tentative à la hussarde avortée destinée à faire abandonner le lait cru par l’appellation, le groupe Lactalis et la coopérative Isigny-Sainte-Mère décident de couper les ponts. Les camemberts Lanquetot, Lepetit ou encore Médaillon abandonnent le lait cru et ne mentionnent plus l’appellation “camembert de normandie” sur leurs célèbres étiquettes. Le bras de fer est lance !

Un an après, et avant même que n’intervienne la décision administrative attendue pour l’été 2008, les membres de l’association de défense et de gestion du camembert de normandie ont bon espoir d’être entendus.

Le résultat de ce bras de fer était très attendus par d’autres organismes de gestion d’AOC, qui voyaient, au delà de cette attaque sur un fromage , une stratégie plus vaste de laminage des produits de terroir et de leurs producteurs par les géants de l’industrie agro-alimentaire. Pour le consommateur l’indication "camembert de  normandie" sur l’étiquette ronde restera donc le seul garant d’un produit de qualité respectueux d’une tradition vieille de 217 ans.

Le camembert est né en 1791, période troublée de l’histoire de France, dans la petite ville de Camembert, située en normandie. Vers la fin du 19ème siècle, deux évènements vont permettre à ce fromage rond facilement reconnaissable de faire le tour de France : l’invention de la petite boite en bois de peuplier par l’ingénieur Ridel et de façon concomitante le développement des moyens de communication rapides. Le succès de ce fromage est rapide, et de nombreuses laiteries se mettent à fabriquer ce délicieux fromage partout en France, voire même au-delà des frontières de l’hexagone. Les normands craignant pour leur production locale fondent en 1909 le « Syndicat des Fabricants du Véritable Camembert de normandie », remplacé en 1997 par « Le Syndicat Interprofessionnel de Défense du Camembert de normandie ». Pendant de nombreuses années ont donc coexistés deux camemberts: le camembert générique et le camembert de normandie.

Le camembert de normandie au lait cru moulé à la louche, qui fait l’objet d’une AOC (Appelation d’Origine Controlée) depuis 1983, est "un fromage à pâte molle, à égouttage spontané, ni cuite, ni pressée, ni malaxée, à caillé non divisé, légèrement salé, à moisissures superficielles, de forme ronde, d’un poids de 350g, d’un diamètre maximum de 10 a 11 cm, renfermant au moins 40g de matières grasses pour 100g, provenant du lait pur de normandie".

De plus de 1300 producteurs de Camembert recensés avant la dernière guerre mondiale, ils ne sont plus qu’une quinzaine dans les années 2000 à fabriquer du camembert en normandie. Regroupements, constitution de grand groupes pour répondre aux attentes de la grande distribution, le marché du camembert a considérablement évolué, le camembert de normandie ne représentant plus aujourd’hui qu’une part minime de la production globale de Camemberts.

11 mars 2008

 

Petite merveille dénichée par Sylvie Béguin-Hutin,

une photo de Benoit Reyre agé de 7 ans en 1958,

petit fils du fromager Henri Hutin à Lacroix-sur Meuse.

 

07 janvier 2008

 

Passage à la télé de tyrosémiophiles tchèques : vidéo

06 janvier 2008

 

AVIS DE RECHERCHE

 

Etiquette de l'imprimerie Grange & Guy (période 1906-1925)

 

La commune de Mornand en Forez (Loire) recherche des informations sur cette fromagerie

dont ils n'ont actuellement aucune trace, si ce n'est un voeu émis par le Maire Mr Arbel,

au cours de la séance du conseil municipal du 15 mai 1904,

de voir la création d'une coopérative laitière.

Mairie de Mornand : 04.77.97.18.77

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